Imposture

Grand Dictionnaire de la langue française numérisé

• n.f. Action de tromper par de fausses apparences ou des allégations mensongères, de se faire passer pour ce qu'on n'est pas : Dénoncer les impostures d'un escroc.
• n.f. Caractère de tromperie, de supercherie que revêt quelque chose : Imposture d'une publication.

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• n. Ce que l’on impute faussement à quelqu’un dans le dessein de lui nuire.
• n. Doctrine destinée à séduire les hommes, à faire secte.
• n. Ouvrage fabriqué dans une intention de fraude et donné comme l’œuvre d'un auteur connu.
• n. Action de tromper dans ses mœurs, dans sa conduite, afin d’en imposer et de se faire passer pour un autre homme qu’on n’est.

Le littré

• Sens 1: Action de tromper, d'en imposer. Une grossière imposture.
• Sens 2: Particulièrement. Ce que l'on impute faussement à quelqu'un dans le dessein de lui nuire. Il est aisé de détruire cette imposture.
• Sens 3: Hypocrisie, tromperie dans les mœurs, dans la conduite. Toute sa vie n'a été qu'une imposture continuelle.
• Sens 4: Action de tromper en se faisant passer pour un autre. L'imposture des faux Démétrius en Russie.
• Sens 5: Figurément. Illusion, en bonne ou en mauvaise part.